Invitation au voyageHenry Miller à Big Sur / Côte d’Azur / Ouzbékistan

Henry Miller, jours tranquilles à Big Sur
En 1944, Henry Miller débarque à Big Sur, aux États-Unis. Ce spectaculaire banc de plage de Californie, situé à 200 kilomètres de San Francisco, est le paradis naturel que recherchait l’écrivain. Depuis Carmel, petite bourgade sans électricité juchée sur la montagne, Henry Miller coupe court aux illusions du matérialisme et du confort, et écrit son dégoût d’une société américaine en dégénérescence. Deux décennies plus tard, à l’ombre des séquoias, l’écrivain a su déployer une véritable philosophie de la nature et de la simplicité.

Une vague moderniste sur la Côte d’Azur
En France, au début du XXe siècle, la Côte d’Azur devient le terrain d’expérimentation d’avant-gardistes bien décidés à dynamiter l’architecture de leur époque. Des bâtiments blancs dessinent des tâches éclatantes au soleil. À l'intérieur, ni ornement ni décoration chargée mais la simplicité des formes et le regard porté sur l’horizon et la Méditerranée. Les architectes du mouvement moderne y trouvent la lumière, une côte encore sauvage et des clients fortunés capables de concrétiser tous leurs fantasmes.

Au Costa Rica, la soupe de Denzell
À Puerto Limón, Denzell prépare le rondón, un plat typique des Caraïbes. Avec l'aide de sa grand-mère, il fait cuire des bananes, de l’igname et des carottes dans de l'eau. Pour agrémenter ce délicieux bouillon, il  incorpore du lait de coco frais ainsi qu'une sauce à base d'ail, de céleri, d'oignons et de piments. Sans oublier la star du plat : du maquereau bien doré et parfumé au curry.

En Ouzbékistan, un collectionneur de toiles
En Ouzbékistan, Noukous a été construite en pleine steppe désertique. Et dans cette ville de près de 350 000 habitants, un musée abrite une incroyable collection. On la doit au courage d’un artiste, qui n’a pas suivi les diktats de Moscou, et à sa passion dévorante pour la peinture…