L'OTAN sous pression
Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump rompt avec le principe de défense mutuelle qui prévaut au sein de l’OTAN. Dans le cadre des négociations de paix en Ukraine, il se rapproche du président russe Vladimir Poutine, sans consulter ni l’Europe, ni Kiev. Sous la pression du président américain et de la menace russe, les 32 pays de l'Alliance vont se penchent sur un nouvel engagement de porter à au moins 5% du PIB leurs dépenses de sécurité, dont 3,5% réservés au domaine militaire stricto-sensu. Jusqu'à présent, l'objectif de dépenses militaires fixé par l'OTAN était de 2 % du PIB. Mais l'unanimité est loin d'être de mise, certains, comme l'Espagne, assurant avoir obtenu des exemptions.
Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump rompt avec le principe de défense mutuelle qui prévaut au sein de l’OTAN. Dans le cadre des négociations de paix en Ukraine, il se rapproche du président russe Vladimir Poutine, sans consulter ni l’Europe, ni Kiev. Sous la pression du président américain et de la menace russe, les 32 pays de l'Alliance vont se penchent sur un nouvel engagement de porter à au moins 5% du PIB leurs dépenses de sécurité, dont 3,5% réservés au domaine militaire stricto-sensu. Jusqu'à présent, l'objectif de dépenses militaires fixé par l'OTAN était de 2 % du PIB. Mais l'unanimité est loin d'être de mise, certains, comme l'Espagne, assurant avoir obtenu des exemptions.