Olivier Père

Plusieurs films ARTE récompensés au 77ème Festival de Cannes

Compétition

Tout ce que l’on prend pour de la lumière (All We imagine as Light) de Payal Kapadia
Petit Chaos, Chalk&Cheese, ARTE France Cinéma, BaldrFilm, Another Birth, Films Fauves, Pulpa – Distribution Condor – sortie salle le 2 octobre (image en tête de texte)
Grand Prix du Jury
Mention spéciale du Jury Cinémas art et essai

 

Les Graines du figuier sauvage (The Seed of the Sacred Fig) de Mohammad Rasoulof
Paralel45, Run Way Pictures, ARTE France Cinéma – distribution Pyramide
Prix spécial du Jury
Prix FIPRESCI de la Critique Internationale
Prix des Cinémas art et essai

Prix François Chalais

 

Grand Tour de Miguel Gomes

Uma Pedra no Sapato, Vivo Film, Cinema Defacto, Shellac Sud, ARTE/ZDF – Distribution : Tandem et Shellac

Prix de la mise en scène

 

Un Certain Regard

Flow de Gints Zilbalodis

Dreamwell, Sacrebleu Productions, Take Five, ARTE France Cinéma – Distribution UFO Distribution

Mention spéciale du Prix de la création sonore

 

Séances spéciales

Ernest Cole, photographe (Ernest Cole, Lost and Found) de Raoul Peck

Velvet Films, ARTE France Cinéma avec la participation d’ARTE France – Unité société et culture – Distribution Condor – sortie salle le 25 décembre

Œil d’or ex-aequo (Prix du meilleur documentaire)

 

Quinzaine des cinéastes

Septembre sans attendre (Volvéreis) de Jonas Trueba 

Los Ilusos Films, Les Films du Worso, ARTE France Cinéma – Distribution : Arizona distribution – Sortie salles le 28 août

Label Europa Cinémas

Nous aurons l’occasion de parler à nouveau de certains de ces films lors de leurs sorties en salles, sans oublier d’autres découvertes enthousiasmantes faites au Festival de Cannes cette année dans les différentes sections, et que nous vous conseillons, parmi lesquelles :

Megalopolis de Francis Ford Coppola

Furiosa une saga Mad Max de George Miller (actuellement sur les écrans)

La Belle de Gaza de Yolande Zauberman (actuellement sur les écrans)

The Substance de Coralie Fargeat

Les Damnés de Roberto Minervini

Santosh de Sandhya Suri

The Apprentice de Ali Abassi

Le Procès du chien de Laetitia Dosch… liste non exhaustive.

 

Et bien sûr Miséricorde d’Alain Guiraudie et C’est pas moi de Leos Carax, deux grands moments de cinéma de cette édition.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Catégories : Actualités · Coproductions

21 commentaires

  1. Bertrand Marchal dit :

    Ça me rassure (un peu, car il vous arrive de défendre des films indéfendables!) que vous signaliez Furiosa.
    J’ai vu par inadvertance quelques images et j’ai trouvé ça laid. Plus grand-guignol que Fury Road, mois sombre. Je vais tenir ce film à distance pendant quelques mois, le temps d’y revenir avec un esprit vierge.

    le Coppola à reçu de mauvaises critiques en Belgique. là aussi, je n’ai voulu voir que la mini bande annonce et je n’en pense rien. On verra. C’est un réal que j’aime toujours (nb: revoir Tetro – je viens d’apprendre qu’en italien, ça veut dire « lugubre »)

    • Olivier Père dit :

      En italien comme en espagnol (car il ne vous a pas échappé que le film se déroule à Buenos Aires) Tetro est un mot peu usité qui signifie « sombre » (parce que le film est en noir et blanc, mais surtout parce qu’il dévoile les rapports complexes et douloureux entre Coppola et son père, ce qui en fait un de ses films les plus personnels. Quant à Furiosa, il est toujours préférable de juger un film sur pièce que sur sa bande annonce (pas terrible en effet) et le film est formidable, comme tous les Mad Max et comme tout ce que fait George Miller en général. Megalopolis est un cas d’école puisque détesté à Cannes par tous ceux qui avaient décidé de le détester avant même que la projection ne commence, puis les faquins qui considèrent que Coppola n’a rien fait de valable depuis le Parrain. Comme je ne lis pas les torchons et que je vais pas dans les soirées mondaines, je n’ai rencontré à Cannes que des gens qui avaient aimé le film. On pourrait ajouter que le très beau Megalopolis de Coppola aura eu l’honneur de se faire attaquer par les descendants de ceux qui avaient démoli Conversation secrète et Apocalypse Now, ses deux premières palmes d’or aujourd’hui très largement reconnus comme des chefs-d’œuvre. on en reparlera donc dans quinze ans où un peu moins j’espère.

  2. Bertrand Marchal dit :

    J’ai vu Twixt trois fois et j’adore ce film dont personne ne parle jamais. Copolla est incapable de faire une daube et reste un grand inventeur.
    Un critique mal léché, ici en Belgique francophone (qui truste éhontément les émissions sur le cinéma depuis 30 ans), jugeait en partie la pertinence de la sélection en fonction de l’âge des cinéastes, y voyant un hospice de vieux qui faisait trop d’ombre à la jeune génération ; il avait oublié de considérer sa propre situation.

    Rien à voir, mais je regardais récemment quelques films underground des années 70, entre autres les très réussis Proie de l’autostop et Messiah of the Devil, le moins convaincant Valérie au pays des Merveilles et Ma femme est un Violon qui fini par être embarrassant dans son délire fétichiste.

    Bref, tout ça pour vous demander si vous avez vu Emmanuelle et Françoise et ce qu’il vaut.

    • Olivier Père dit :

      Twixt est en effet un film bien peu commenté, un peu oublié et souvent moqué dans la carrière de Coppola. c’est un film qui boucle la boucle (retour à la série B fantastique style Dementia 13 et allusions à son mentor Roger Corman via des citations d’Edgar Poe) tout en étant lui aussi très personnel et même bouleversant sur le plan intime (Coppola y fait ouvertement allusion à la mort de son fils décapité dans un accident de bateau). pas revu depuis sa présentation au Festival de Toronto mais j’avais beaucoup aimé. il y avait aussi le « gimmick des scènes en 3D » qui renvoyait au cinéma des années 60″. Il y a un peu de tout ça aussi dans Megalopolis mais avec une vraie démesure, et cela devient un autoportrait très émouvant, un adieu et même une sorte de legs à l’humanité pour qui veut bien l’entendre. on retrouve le côté Abel Gance de Coppola dans ce film (utopie contre dystopie) et étrangement le film a été projeté le lendemain de la projection de la version restaurée du Napoléon vu par Abel Gance. Il y a aussi quelque chose de jamais vu au cinéma (à ma connaissance) dans Mégalopolis, qui sera difficile à reproduire à chaque séance, mais je ne vous en dis pas plus !

    • Olivier Père dit :

      Désolé d’avoir oublié de répondre à la deuxième partie de votre commentaire.
      oui j’aime bien les Proies de l’autostop j’en parle ici
      https://www.arte.tv/sites/olivierpere/2016/06/13/proie-de-lauto-stop-de-pasquale-festa-campanile/
      j’aime bien Festa Campanile en général et vous trouve sévère sur Ma femme est un violon , certes ce n’est pas un chef-d’oeuvre mais il y a Laura Antonelli !
      revu récemment Messiah of Evil avec des sentiments contrastés. nous sommes vraiement devant du proto-David Lynch dans lequel les auteurs, qui pensaient réaliser un film dignes de leurs idoles Resnais et Antonioni (ils le revendiquent dans les bonus du BR américain, ont finalement produit un petit film d’exoloitation bancal assez ennuyeux mais avec au moins une scène très mémorable et effrayante : celle de la salle de cinéma. Je vous recommande Emmanuelle et Françoise c’est l’un des meilleurs films de Joe d’Amato, avec un scénario à tomber à la renverse. Il semblerait que le film soit le remake inavoué d’une production grecque (?), dans lequel a aussi trempé Bruno Mattei. Mais nous sommes loin d’une série Z bâclée. trouvé sur le site sens critique un excellent texte qui rend hommage aux qualités hors du commun de ce sommet de la « D’Amato’s Touch » : « il s’agit là d’un objet sublime, probablement l’un des plus beaux et les plus émouvants de son auteur. Il raconte le suicide de Françoise, femme humiliée par son conjoint, violée par sa faute, puis la vengeance terrible orchestrée par sa sœur Emmanuelle, qui séquestre le salaud, le drogue, le frustre en lui imposant la vue de jeux sexuels, jusqu’à ce qu’il perde totalement la raison. Derrière son accumulation de scènes sulfureuses qui pourrait ressembler à un catalogue d’humiliations toujours plus dingues – allant jusqu’à un repas cannibale totalement grand guignolesque et sidérant – le long-métrage est porté d’abord et avant tout par des personnages étonnamment émouvants et par une mise en scène toujours plus inspirée. »

  3. Bertrand Marchal dit :

    Coppola est un vrai cinéphile qui reconnait et actualise le génie de ses aînés. Mélies, Corman, Gance, De Mille. Il sait fabriquer une image, avec le flair et l’astuce des pionniers qui devait se débrouiller sans la parole pour véhiculer une émotion, une idée. Ces merveilleux artistes du muet qui expérimentaient au jour le jour, sur le plateau et dans la salle de montage. le cinéma c’est d’abord les limites de la techniques. Exploiter tout l’espace créatif possible à l’intérieur de ces limites. Et Coppola est resté proche de cet esprit.

  4. Bertrand Marchal dit :

    Merci pour les commentaires!

    Ma femme est un violon n’est pas un film idiot, loin de là.
    Laura est ravissante, mais rien à faire: elle est vraiment réduite à l’état de potiche écervelée au service de son minable de mari, un outil au service de son épanouissement personnel, autant dire un gadget masturbatoire. C’est la ravissante idiote à qui il manque l’étincelle qui la rendrait vraiment sympathique.
    Évidemment, le voyeurisme est l’un des thèmes centraux du film puisque le mari ne reprend confiance en lui que parce qu’il peut s’enorgueillir de la beauté de sa femme auprès des gens qui sans arrêt le rabaissent. A ce titre, le film laisse bien passer toute la médiocrité et le pathétique du personnage dans une belle scène de restaurant où on le voit s’émouvoir de satisfaction jusqu’aux larmes.
    Le sujet n’est pas vain, mais il faut passer outre la réalité de l’expérience de l’actrice, à poil et palpée dans tous les sens comme une poupée érotique.

  5. Ballantrae dit :

    Ayant pu découvrir in extremis Megalopolis, je confirme que c’est un beau film qui devra être vu et revu pour être compris.
    Coppola confirme dans ce possible testament son tempérament visionnaire et généreux qui l’amène à associer étroitement grotesque et sublime comme Hugo et avant lui Shakespeare. Il y a maints passages très shakespeariens que ce soit pour glisser vers la comédie ou le tragique.
    Impossible parfois de tout percevoir tant les idées se demultiplient.
    Vous avez mille fois raison d’évoquer Gance.
    Et de rappeler combien Coppola a dû s’imposer sur la durée pour convaincre. Apocalypse now ne fit pas l’unanimité, Coup de coeur fut largement incompris et Cotton Club totalement sous estimé.
    Il a enfin une date de sortie: le 25 septembre !

  6. Ballantrae dit :

    Quant à Furiosa, vous avez tort Bertrand de vous priver de ce moment jubilatoire!
    Miller réussit à donner à son univers une ampleur mythologique qui donne plus que jamais le primat à la transmission, à l’édification d’une légende cf déjà Mad Max 2 avec le récit de l’enfant sauvage devenu vieux chef.

  7. Bertrand Marchal dit :

    Vu Furiosa. Lavé mes soupçons dans un bain de sang et de larmes si généreux et intelligent que j’en reste sidéré.

    Ce film marque une étape supplémentaire dans l’édification d’un mythe très humain. Il renoue avec la veine tragique du premier tome pour creuser la psyché des personnages avec une tendresse étonnante. l’émotion que Miller arrive a préserver de l’action pure, le sentiment prégnant de la solitude pathétique de ces êtres perdus, livrés à l’instinct de mort est la clé d’un chef d’œuvre de plus. Quelle saga! Quel artiste unique il faut être pour imprimer une vision si originale et forte dans un canevas et des figures si usés par le cinéma le plus commercial!

  8. Olivier Père dit :

    Entièrement d’accord !

  9. Bertrand Marchal dit :

    Vu Zone d’intérêt.

    Le film ne se laisse pas aisément saisir. Il ne dit rien que celui qui s’intéresse de près à la machine d’anéantissement SS ne sache déjà. L’élite SS vit en dehors des camps dans lesquels elle se donne peu d’occasion d’entrer. Les tâches d’administration et de surveillance sont confiée aux prisonniers eux-mêmes.
    Pour celui qui a lu et qui s’est documenté le film n’apprend rien non plus de l’effort méticuleux d’organisation et de planification que les Nazis ont consenti pour mettre en œuvre la Solution Finale (contre toute logique militaire qui voudrait qu’on consacre cette énergie et cet argent à la défense du territoire!).

    Mais ce film est aussi nécessaire (en plus d’être esthétiquement beau). Il semble annoncer l’usure de la mémoire et la métamorphose du fait historique en une fable (les séquences en négatif et les scènes de lecture de contes) dont la réalité se dissout dans le brouillard du temps et que les musées (malgré eux certainement) contribuent aussi à enrober d’un flou anecdotique (les souliers dans les vitrines). A force de vignettes mortes, détachées de l’expérience intime, la spécificité radicale de l’Holocauste s’efface et se relativise.

    Le cinéma serait le dernier rempart contre l’oubli: en incarnant l’Histoire, il restaure son sens.
    Comme le Fils de Saul, Le film de Glazer ne montre pas l’indicible, l’horreur est insaisissable, c’est un abysse dan lequel s’engloutit la lumière, il est immontrable.

    La scène la plus forte est celle de la disparition de la mère et du mot quelle laisse, que l’épouse de Höss JETTE DANS LE FEU.
    l’autre est celle de la réception où Höss évalue la façon la plus économique de faire disparaître les invités.

  10. Bertrand Marchal dit :

    Qu’avez-vous pensé de ce film Olivier?

    • Olivier Père dit :

      Votre analyse de La Zone d’intérêt est remarquable et je partage votre enthousiasme. C’est un film que je trouve extraordinaire, et je me passionne pour le cinéma de Glazer depuis Birth. J’ai découvert rétrospectivement son travail sur des films courts (pubs, clips, courts métrages) qui sont souvent géniaux eux aussi. Glazer me fait beaucoup penser à Kubrick. De la même manière que Full Metal Jacket ne nous apprenait rien sur la guerre du Vietnam, La Zone d’intérêt ne nous apprend peut-être rien sur Auschwitz, mais parvient à explorer la psyché humaine au travers d’une étude des comportements d’hommes et de femmes englués dans une folie collective. Glazer se livre effectivement à un travail sur la mémoire, en inventant des formes de récits et des dispositifs techniques vraiment sidérants.

  11. Bertrand Marchal dit :

    Je suppute que vous avez pris des vacances bien méritées. Quand vous serez reposé, je serais curieux d’avoir votre opinion sur Zone of Interest.

    Je n’ai pas posté mon commentaire sur la bonne page: il a été montré à Cannes en 2023. Comme le temps passe!

  12. Bertrand Marchal dit :

    La plupart des critiques se focalisent sur un sujet qui serait « la banalité du Mal ». Voilà une idée bien rabâchée qui a été prise à son auteur (Hannah Arendt) pour tenter d’expliquer le phénomène SS, celui du fanatisme, celui de l’endoctrinement: par une forme de tentation vers le Mal qui se nicherait en chaque individu. Je pense que rien n’est plus faux. L’exécution d’un programme génocidaire n’a rien de banal, les ressorts intimes qui font d’un homme un bourreau ne sont pas banal: il faut cet homme-là et pas un autre. L’incivisme est banal, l’égoïsme est banal, la violence domestique ne l’est pas, ni, à fortiori, le refus de reconnaître à un homme le droit de s’appeler homme.

    Par ailleurs, on sait que nombre de nazis, et même quelques SS, ont éprouvé du rejet, à minima des scrupules et de l’écœurement. Le programme éradication des Juifs d’Europe tel qu’organisé par Himmler est tout sauf le cours ordinaire des choses!

    Il n’est pas du tout anodin que ce soit une Juive qui ait inventé cette expression, en fait pour sous-entendre que son peuple est condamné à toujours être victime. C’est dans la bouche de Hannah Arendt l’idée que pour eux rien ne changera jamais. Elle n’exprime pas une idée universelle mais une conviction personnelle qui touche à la notion du martyr.

    Si le film de Glazer s’arrêtait à cette idée qui est devenue (à tort) un lieu commun, il n’aurait pas d’intérêt. Je crois vraiment qu’il ne parle pas du Mal, il parle de la mémoire du Mal, ce qui le situe à un autre niveau d’intelligence – et de modernité.

    • Olivier Père dit :

      Entièrement d’accord.

    • Olivier Père dit :

      dans le même ordre d’idée mais avec des moyens différents, le travail de Lanzmann dans Shoah est un travail de mémoire. Son intention n’a jamais été de démontrer la banalité des crimes nazis mais au contraire leur singularité dans l’histoire de l’humanité ainsi que la douleur des survivants, au travers de témoignages de rescapés, de témoins ou d’assassins.

  13. Bertrand Marchal dit :

    J’ai loué récemment le documentaire-fleuve de Lanzmann. Honnêtement, j’ai été déçu. Sur le plan plastique, c’est nul. Zéro pointé sur le plan de la cinématographie. C’est une collection de témoignages in-extenso, souvent face caméra. Qu’on dise: « c’est un documentaire essentiel », je suis d’accord, comment ne le serais-je pas? Mais qu’on dise « c’est un chef d’œuvre du cinéma », je ne le suis plus. Ce n’est même pas un grand documentaire, c’est un long documentaire! Mais à nouveau, je tiens juste ici à dissocier ce travail d’information de ce qui est un travail de création. Or, le cinéma, c’est la création. Il ne faut pas que le sujet anoblisse une oeuvre. Ça ne doit pas marcher dans ce sens. Ici, le sujet intimide la critique. On se dit, oulalah, il parle de la Shoah, on ne peut rien dire de mal! Comme on n’a rien dit à Spielberg, qui croyait faire son œuvre d’adulte. Alors que son œuvre d’adulte, il a fallu attendre The Fabelmans pour la voir.

    Les seuls grands films de cinéma sur l’holocauste, c’est Nuit et Brouillard, le fils de Saul et The Zone of Interest. Peut-être y en-a-t-il d’autres, mais je ne les ai pas vus.

  14. Herbert dit :

    Qu’avez-vous pensé de The Substance ?
    Très curieux d’en connaître votre avis !

    • Olivier Père dit :

      J’ai aimé à Cannes et j’ai prévu de le revoir ce soir.
      En général je revois toujours les films que j’ai trouvé magnifiques ou intéressants à Cannes, pour vérifier : cette année Furiosa, Megalopolis, Miséricorde, The Apprentice…

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