Guillaume PonceletYaki Imo / Iridescence
10 min
Disponible jusqu'au 27/03/2026
Guillaume Poncelet s’installe au Palais de Tokyo pour y libérer toute la puissance émotionnelle de son piano néoclassique. Une superbe initiation à l’album Durango.
Si c’est d’abord sur la trompette jazz que Guillaume Poncelet a jeté son dévolu musical, ce sont les touches noires et blanches du piano qui animent maintenant ses mains. Un second amour que le musicien a fait mûrir de manière autodidacte et qui a donné naissance à deux albums : 88 (tiens, tiens, le nombre de touches sur un piano ?) et Durango, publié en 2023. Applaudi par le public comme par la critique, Durango a mené Guillaume Poncelet jusqu’à la prestigieuse scène de La Cigale, où il a joué à guichet fermé.
S’il brille particulièrement fort lorsqu’il est seul sous le feu des projecteurs, Guillaume Poncelet est aussi adepte du travail en équipe. On a en effet pu l’entendre aux côtés de Michel Jonasz, Gaël Faye, Ben Mazué, Thomas Azier ou encore Ayo. Ses notes accompagnent également l’image, puisqu’il a composé les BO des films Razzia et On sourit pour la photo.
Laissez-vous être happés par les envoûtantes notes néoclassiques de Guillaume Poncelet.
Filmé le 20 février 2024 au Palais de Tokyo, Paris.
Photo © Véronique Fel
S’il brille particulièrement fort lorsqu’il est seul sous le feu des projecteurs, Guillaume Poncelet est aussi adepte du travail en équipe. On a en effet pu l’entendre aux côtés de Michel Jonasz, Gaël Faye, Ben Mazué, Thomas Azier ou encore Ayo. Ses notes accompagnent également l’image, puisqu’il a composé les BO des films Razzia et On sourit pour la photo.
Laissez-vous être happés par les envoûtantes notes néoclassiques de Guillaume Poncelet.
Filmé le 20 février 2024 au Palais de Tokyo, Paris.
Photo © Véronique Fel
Pays
France
Année
2024
