Depuis trente ans, Arnaud Desplechin jubile de mettre en scène les mésaventures de la vie, les crises artistiques, les troubles familiaux et leur nécessaire psychanalyse. Son cinéma - comique comme tragique - est l'œuvre d'un territoire intimiste nourri de son Nord natal et traversé par des visages familiers. Des films habités particulièrement par Mathieu Amalric, se prêtant tantôt à la dédale existentielle de Paul Dédalus, alter égo du cinéaste, tantôt aux débordements d'Ismaël, son second double fantasque.
Depuis trente ans, Arnaud Desplechin jubile de mettre en scène les mésaventures de la vie, les crises artistiques, les troubles familiaux et leur nécessaire psychanalyse. Son cinéma - comique comme tragique - est l'œuvre d'un territoire intimiste nourri de son Nord natal et traversé par des visages familiers. Des films habités particulièrement par Mathieu Amalric, se prêtant tantôt à la dédale existentielle de Paul Dédalus, alter égo du cinéaste, tantôt aux débordements d'Ismaël, son second double fantasque.