En Birmanie, la répression se poursuit
Lors du coup d'État du 1er février 2021, l'armée a procédé à l'arrestation d'Aung San Suu Kyi, alors cheffe du gouvernement birman et dont le parti avait largement remporté les élections législatives quelques mois plus tôt. La Ligue nationale pour la démocratie se trouvait alors en capacité de changer la Constitution du pays. Une menace intolérable pour l'armée. Depuis, la junte s'attaque à toute opposition. Pour la première fois depuis des décennies, 4 personnes, dont des militants pro-démocratie, ont été exécutées en juillet 2022, tandis qu'Aung San Suu Kyi a été condamnée, en décembre de la même année, à un total de 33 de prison. Pour comprendre ce qui se passe en Birmanie, retrouvez notre sélection de reportages et d'analyses.
Lors du coup d'État du 1er février 2021, l'armée a procédé à l'arrestation d'Aung San Suu Kyi, alors cheffe du gouvernement birman et dont le parti avait largement remporté les élections législatives quelques mois plus tôt. La Ligue nationale pour la démocratie se trouvait alors en capacité de changer la Constitution du pays. Une menace intolérable pour l'armée. Depuis, la junte s'attaque à toute opposition. Pour la première fois depuis des décennies, 4 personnes, dont des militants pro-démocratie, ont été exécutées en juillet 2022, tandis qu'Aung San Suu Kyi a été condamnée, en décembre de la même année, à un total de 33 de prison. Pour comprendre ce qui se passe en Birmanie, retrouvez notre sélection de reportages et d'analyses.