Olivier Père

Trois souvenirs de la 64ème édition du Festival del film Locarno

Une image : L’actrice argentine Maria Canale, prix d’interprétation féminine pour Abrir puertas y ventanas de Milagros Mumenthaler (également Pardo d’oro), sautant de joie le jour du palmarès. Elle est très jeune, belle, talentueuse et c’est son premier rôle à l’écran. C’est aussi le premier film de Milagros Mumenthaler. Elle symbolise l’élan de jeunesse, de bonheur et de découverte qui a caractérisé ce festival.

Une musique : La chanson de Addio Zio Tom (le chef-d’œuvre de Gualtiero Jacopetti, 1971, sorti en France sous le titre Les Négriers) composée par le grand Riz Ortolani et que l’on entend dans l’extraordinaire Drive de Nicolas Winding Refn projeté sur la Piazza Grande le samedi 6 août. Sublime. Et mes excuses à mon assistante Paola Tedeschi pour l’avoir sifflée (faux) pendant tous les jours suivants du festival.

Un mot : « Ottimo ». Merci Hitoshi Matsumoto.

Maria Canale. © Festival del film Locarno / Ivana De MariaMaria Canale à Locarno (2011). © Festival del film Locarno / Ivana De Maria

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